Bien sûr, personne ne peut vivre la maladie à la place d’un autre.
L’entourage peut néanmoins accompagner, aider, rassurer le malade. Celui-ci reconnaît vite les personnes à qui il peut parler et celles qui n’ont pas la force et la patience de l’écouter, de le comprendre.
Les familles et les soignants qui côtoient quotidiennement des personnes malades le savent bien : humilité, écoute et tact sont nécessaires pour permettre au malade de « sortir » de lui-même et percevoir que, même diminué, il a encore une place et un rôle.
Accompagner les personnes malades |
---|
De nombreuses structures d’accompagnement des malades existent et beaucoup de chrétiens s’y engagent pour être à l’écoute des personnes qui souffrent, leur être disponibles. Car le désir le plus fondamental d’une personne malade reste celui d’être aimée, de pouvoir rendre cet amour, d’être considérée comme une personne unique et encouragée dans toutes les dimensions de son être. |